Nommé professeur ordinaire à l’Institut d’histoire en août dernier, Nicolas Balzamo a suivi des études d’histoire à l’Université Paris IV-Sorbonne puis à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, où il a obtenu un doctorat intitulé «Miracle et société en France (vers 1500-vers 1620)».
Il est ensuite revenu à Neuchâtel en qualité de maître-assistant avant d’être engagé comme professeur ordinaire d’histoire moderne.
Controverses théologiques
Menés sur l’ensemble de la période moderne et à différentes échelles – depuis la microhistoire jusqu’à une perspective européenne –, ses travaux de recherche portent sur l’histoire religieuse et culturelle, envisagée comme une histoire des idées et des pratiques, de leurs circulations et de leurs confrontations.
Une telle approche l’a conduit à étudier des questions aussi diversifiées que les controverses théologiques et historiques, le culte des images et des reliques, les pèlerinages et les miracles, le commerce des objets de piété, la circulation des dévotions ou encore le versant politique des affaires de possession démoniaque.
Nina Mueggler, Michaela Slotwinski, Annti Rajala et Nicolas Balzamo ont pris leur fonction de professeur depuis cette rentrée universitaire. Bienvenue!
Des membres de l’Université du 3e âge (U3a) participent à un projet de recherche national consacré aux bibliothèques et musées en Suisse entre les 18e et 19e siècles.
Baptiste Tognet-Bruchet, 25 ans, a reçu la bourse Horizon Gaïa 2024, dans le cadre de son Master en sciences historiques portant sur les archives de la montre électronique.