La Faculté de droit de l’Université de Neuchâtel propose dès le semestre d’automne un certificat de formation continue (CAS) en droit et intelligence artificielle. L'objectif? Renforcer le rôle des professions juridiques dans la révolution induite par l’intelligence artificielle (IA).
L’émergence soudaine de l’intelligence artificielle générative – et en particulier des grands modèles de langage (Large language model ou LLM) tels que GPT-4 ou Gemini – a fait prendre conscience au monde du droit de la nécessité de s’approprier les outils d’IA.
La simplicité d’utilisation et la rapidité de génération de textes réalistes témoignent déjà du potentiel d’optimisation des services juridiques. Dans ce domaine en pleine évolution, il s’agit pour les juristes non seulement d’intégrer l’IA à leur pratique, mais aussi de se spécialiser dans les nouvelles disciplines du droit créées par la réglementation de l’intelligence artificielle, afin d’accompagner au mieux leur clientèle.
En combinant les interventions de praticien-ne-s reconnu-e-s du droit, d’universitaires et de spécialistes des secteurs politiques ou économiques, cette formation en cours d’emploi d’une centaine d’heures permet de construire une expertise dans le domaine de l’intelligence artificielle au service du droit.
Le CAS en droit et intelligence artificielle s’adresse aux avocat-e-s, juristes d’entreprise et autres professionnel-le-s du droit.
Intéressé-e?
Planter dans un même champ du maïs, des haricots grimpants et des courges augmente la diversité des arthropodes, indique une étude de l’UniNE menée au Mexique.
Cette promotion permet à l’UniNE de devenir, aux côtés des universités de Genève et Zurich, la troisième institution mère du Pôle de recherche national Evolving Language.
La Faculté de droit de l’Université de Neuchâtel entend dès l’automne renforcer le rôle des pro-fessions juridiques dans la révolution induite par les grands modèles de langage.
